Christian Chevandier, professeur d'histoire contemporaine à l'université du Havre
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QU'ON SE LE DISE !
3 nov. 2010
Le mouvement social de l'automne 2010 aura une postérité politique
Ni vainqueurs ni vaincus", nous dit-on à propos de la mobilisation sociale, comme si tout était fini. C'est se rassurer à bon compte : un mouvement social a toujours une postérité. C'est elle qu'il convient d'interroger pour comprendre l'importance de ce qui se passe. Laissons de côté les gouvernants. Nicolas Sarkozy est un homme du passé, et dans quelques années l'évocation de son nom fera sourire, comme ce fut le cas pour Valéry Giscard d'Estaing. N'en déplorons pas moins que, sans cesse désavoué dans les urnes depuis 2007 et faisant passer des lois contre la volonté de la population, le pouvoir identifié au patronat propose une piètre image de la démocratie au moment où une nouvelle génération entre en politique. (...)
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1 commentaires:
Intéressant ...
D'autant que ce n'est pas fini !
mArie
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